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The Art of Disney
25 septembre 2008

Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde

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pirates_of_the_caribbean_at_worlds_end_02Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde est le troisième film tiré de la célèbre attraction du même nom à Disneyland. C'est la suite direct du second volet sorti en 2006 qui avait engrangé plus d'un milliard de dollars de recette à travers le monde. On retrouve y Gore Verbinski aux commandes du film en tant que réalisateur, place qu'il tenait déjà dans les deux premiers volets de la saga.
Afin de profiter des décors, des lieux de tournage et de la disponibilité des stars, plusieurs scènes de Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde ont été réalisées pendant le tournage de Pirates des Caraïbes : Le Secret du Coffre Maudit, permettant ainsi à la production de faire de larges économies. Le tournage des premières scènes spécifiques à Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde a débuté le 31 août 2005 avec l'arrivée de Chow Yun-Fat dans le rôle du capitaine Sao Feng. Les scènes ont été tournées sur le plateau 2 des studios Disney, dans les décors créés par Rick Heinrichs représentant la cabine du pirate asiatique à l'intérieur de son navire, "l'Impératrice". Deux jours plus tard se tournait une des plus belles scènes du filù, dans une gigantesque et originale recréation de Singapour au XVIIIe siècle. Après trois semaines de tournage sur le décor de Singapour, l'équipe a mis le cap aux Bahamas à la fin du mois de septembre 2005 pour continuer le tournage du second volet. Le tournage du troisième volet des aventures de Jack Sparrow a repris à la fin de celui du second opus.
Comme sur les deux premiers films, les scénaristes Ted Eliott et Terry Rossio étaient constamment présents sur le tournage de Pirates des Caraïbes : Jusqu'au Bout du Monde. Jerry Bruckheimer explique que la présence des deux hommes sur le plateau pour travailler avec le réalisateur et les acteurs a été déterminante. " Ecrire un scénario est un processus vivant qui ne s'arrête pas au tournage, et un vrai travail d'artisan. Dans les années 30 et 40, Hollywood a essayé d'engager des journalistes, des romanciers, mais la plupart ont échoué parce qu'un scénario est une forme d'écriture vraiment particulière. Ted Eliott et Terry Rossio ont un véritable amour pour les films, ils connaissent toutes les ficelles du métier. Ils savent ce qui fait un bon personnage, car c'est une chose qu'ils ont étudiée et qu'ils pratiquent depuis des années. Et surtout, ils insufflent une grande fraîcheur à tout ce qu'ils font. Avec Pirates des Caraïbes, ils ont réussi à remettre au goût du jour les conventions du film de pirates, jugées vieillottes. Avec Gore Verbinski, ils ont tout simplement réinventé le genre. "

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Les cinéastes avaient conscience qu'après avoir passionnés le public avec les deux premiers opus, les spectateurs attendaient encore plus du troisième. Le producteur exécutif, Mike Stenton explique : "Nous voulions remercier les fans en leur offrant une histoire qui soit un combat épique entre la liberté et le conformisme. La question fondamentale du film est : Pourquoi aimons-nous tant les pirates ? Beaucoup d'entre nous voulaient devenir des pirates quand ils étaient jeunes. Nos aventures imaginaires s'accompagnaient de rêves de liberté. En grandissant, nous avons dû faire des compromis et accepter de vivre en conformité avec le monde. Mais une part de pirate est restée vivante en chacun de nous, c'est pour cela qu'autant de gens se précipitent au cinéma pour explorer cette part cachée et plus flamboyante d'eux-mêmes pendant deux bonnes heures. C'est ce que les gens adorent dans ces films. "
Ce qui plaît dans les films de pirates est donc le fait que ces films nous rapprochent de nos rêves d'enfants, aller au cinéma voir Pirates des Caraïbes est une manière de retourner en enfance le temps d'un film, retrouver ses envies de liberté, de batailles épiques, d'aventures,... C'est en quelque sorte une façon de redevenir enfant et de jouer aux pirates. Retrouvez ci-dessous une galerie de recherches graphiques des nouveaux personnages de ce troisième film des artistes Aaron McBride et Crash McCreery.

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sources : www.allocine.fr

 

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22 septembre 2008

Chicken Little

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chickenlittle_1_0246ème long métrage des Walt Disney Animation Studios, Chicken Little marque un nouveau tournant dans la grande histoire du studio d'animation. C'est en effet le tout premier long métrage entièrement réalisé en images de synthèse. Dinosaure sorti en 2000 et récemment intégré à la liste des Grands Classiques avait ouvert la voie en intégrant des personnages animés en 3D dans des décors live. Après le cinglant échec des derniers films d'animation 2D (Frère des Ours, La Ferme se Rebelle) et vu le succès grandissant des productions 3D de Pixar et des autres studios, décision fut prise d'abandonner pour de bon (?) la technique d'animation 2D au profit de l'animation en images de synthèse.
Chickent Little est réalisé par Mark Dindal et produit par Randy Fullmer. Mark et Randy travaillent ensemble depuis des années et ont collaboré sur de nombreux projets, de La Petite Sirène où Mark était responsable du département effets spéciaux et Randy animateur des effets spéciaux, à Kuzco, l'Empereur Mégalo où ils collaborèrent pour la première fois en tant que réalisateur et producteur. C'est durant cette production que l'idée de Chicken Little pris forme. Au Printemps de l'an 2000, quelques mois avant la sortie de Kuzco, l'Empereur Mégalo, Mark et Randy commencèrent à développer un projet dont le but était d'explorer et développer un conte pour enfant afin d'en faire un long métrage d'animation. Mais, comme très souvent dans le développement d'un film d'animation, le projet eut du mal à décoller et, arrivé à quelques mois du début de la production, aucune décision n'avait encore été prise sur l'histoire et les personnages du film. A un moment il fut question de raconter l'histoire du (Le) Petit Chaperon Rouge à la sauce contemporaine mais l'idée fut abandonnée. Après une période de doute, Mark se rappela d'un court métrage Disney des années 40 du nom de Chicken Little qui racontait comment un petit poulet devenait la risée du poulailler en racontant à tout le monde qu'un morceau de ciel lui était tombé sur la tête... Voilà une histoire qu'il pourrait développer!

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Avant de débuter la production, une question importante devait être posée : 2D ou 3D ? Depuis quelques années l'animation assistée par ordinateur a pris de plus en plus d'importance au sein du studio, certain allant même jusqu'à dire que la 2D était un média dépassé. Une partie du studio défendait l'animation 2D traditionnelle alors que l'autre partie se posait des questions sur la viabilité de cette technique. En effet, l'animation 2D s'avère longue et coûteuse et de plus en plus difficile à produire aux heures du tout numérique et de l'expansion de l'animation par ordinateur. Les Walt Disney Animation Studios durent alors prendre la dure décision de fermer ses studios de Floride et de Paris et de réduire à une centaine le nombre d'artistes 2D à Burbank...
Mais pour Joe Grant, un des grands artistes du studio depuis ses débuts (il a 95 ans!) ce conflit artistique est ridicule. Joe rappela à tout le monde la qualité première de Walt Disney qui lui permit d'aller aussi loin : l'innovation. Selon lui Walt aurait adoré la 3D, il aurait certainement été son plus grand supporter! Toujours selon Joe "Walt a toujours pris en compte la tradition d'une bonne histoire et de bon personnages, mais il n'était pas coincé par une technologie quelconque, c'est ça qui lui permettait d'avancer". Ci dessous : Chicken Little vu par Joe Grant.
img021__dessin_de_Joe_Grant_C'est ainsi qu'en avril 2001, le studio pris la décision de réaliser son premier long métrage d'animation entièrement réalisé en images de synthèse. Mais Chicken Little était déjà entré en production (2D), il faudra donc tout recommencer à zéro. Thomas Schumacher, alors directeur de la branche animation annonça la nouvelle à Mark Dindal et Randy Fullmer qui prirent cette décision avec enthousiasme mais également avec inquiétude car tout les deux n'avaient jamais travaillé avec cette technique! Ils se tournèrent alors vers le seul homme qui pouvait les aider : Steve Golderg, le gourou de l'animation 3D aux studios Disney. Steve était à la base chargé de superviser toute les éléments 3D de la version 2D du film, il était donc évident de faire appel à lui. Steve Goldberg travaille depuis des années à l'animation de décors et de personnages en 3D dans divers films Disney : la grotte et le tapis volant dans Aladdin, Grand-mère Feuillage dans Pocahontas ou bien encore la séquence du Petit Soldat de Plomb dans Fantasia 2000. Il fallait maintenant former une équipe prête à relever le défi d'un long métrage entièrement réalisé en 3D... Le studio avait déjà, à cette époque un nombre considérable d'artistes 3D ayant fait leur preuves sur des productions tels que Dinosaure, Fantasia 2000 ou sur divers scènes 3D de films d'animation traditionnels. En plus de cette équipe déjà conséquente, les studios embauchèrent de nombreux animateurs extérieures afin de gonfler les rangs. Pendant ce temps, Mark Dindal et Randy Fullmer apprirent tout ce qu'ils purent sur l'animation 3D afin de commencer la production de manière plus sereine...

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Pour définir le style graphique de Chicken Little, Mark et Randy firent appel au directeur artistique Ian Gooding et au codirecteur artistique Dan Cooper qui travaillèrent sur Aladdin, Le Roi Lion et La Planète au Trésor. Au départ ils adoptèrent un style très proche des illustrations que l'on trouve dans les livres pour enfants, très déformé et coloré. Mais le plus difficile fut d'adapter ce style à l'outil 3D, il ne fallait pas que ça fasse trop plat ou trop "cheap". Le style "livre pour enfants" s'est malheureusement avéré trop difficile à travailler en 3D et il fut décidé de l'abandonner. C'est alors que tout en gardant un style déformé ils essayèrent de rester le plus crédible possible au niveau des textures et des différents effets. Ian Gooding voulait que le public se dise "Ouah! Ça bouge et ce n'est pas réel, mais ça y ressemble tellement que je pourrai presque le toucher!"
Pour ce qui est des formes et des couleurs, Ian et Dan s'inspirèrent des peintures conceptuelles de Mary Blair des années 50. Son style est très présent dans tout les films de cette décennie et ils voulaient retrouver le même esprit dans Chicken Little. David Womersley et Mat George s'occupèrent des environnements en créant des bâtiments aux formes très asymétriques avec des couleurs acidulées à souhait. Mais bien sur, l'outil 3D leur mis à eux aussi des bâtons dans les roues et ils durent revoir le tout afin de créer ces éléments en images de synthèse. Car si une maison difforme est facile à dessiner en 2D, c'est tout à fait autre chose en 3D!
Le graphisme des personnages est quant à lui dans la veine des décors. De nouveau ce sont les années 40-50 qui inspirèrent les artistes Ils étudièrent de près de nombreux cartoons de cette époque. Une technique en particulier fut développé pour ce film : le squash and stretch. Cette technique existait déjà pour l'animation 2D mais c'est la première fois qu'un film en images de synthèse l'utilisait d'une manière aussi importante. Le squash and stretch consiste à étirer de manière surréaliste certaine partie du corps afin de donner plus de dynamisme à l'action. Ce qui a pour conséquence de rapprocher encore plus le film du style cartoon rétro.

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Chicken Little est sorti au cinéma le 4 novembre 2005, précédé d'une campagne de pub comme Disney n'en avait pas fait depuis longtemps, ils étaient vraiment fier de leur petit poulet ! Malheureusement tout le monde déchanta très vite, le film fut mal accueilli par la critique et le public suivi... On lui reproche une manque d'émotion, une histoire brouillon et des chansons indignes d'un Disney. C'est ainsi que les studios Disney se dirent que l'animation traditionnelle avait peut-être encore de beaux jours devant elle, et grâce à l'impulsion de John Lasseter, le département 2D rouvrit ses portes à notre plus grande joie !

 

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21 septembre 2008

Andreas Deja

 

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Andreas Deja fait parti des grands artistes actuels des studios d'animation Disney. Comme son collègue Glen Keane, il a sut au fil des années imposer son style et devenir un des animateurs les plus respectés de sa génération.
Andreas Deja est né en 1957 à Gdańsk en Pologne. Dès 1958 il part vivre avec sa famille a Dinslaken en Allemagne. Le jeune garçon est très vite attiré par l'univers de Walt Disney. Tout d'abord avec les comics vers l'âge de cinq ans puis c'est en allant voir Le Livre de la Jungle au cinéma à l'âge de dix ans que le jeune Andreas tomba amoureux des films d'animation de la firme. Quelques années plus tard il écrit aux studios Disney afin de leur proposer ses services en tant qu'animateur. N'ayant pas encore terminé ses études secondaires la réponse fut bien évidemment négative mais ce refus eu le mérite de le motiver encore plus. Il continue ainsi ses études à la  Folkwang-Schule, une école d'arts graphiques à Essen en Allemagne. A l'âge de 23 ans il propose à nouveau ses services aux studios Disney qui cette fois acceptent! C'est donc en 1980 que le déjà talentueux jeune homme fait son entrée dans le studio où il rêvait tant de travailler depuis toujours.

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Andreas Deja fait ses classes avec le vétéran Eric Larson, un des “neuf sages” et commence à travailler  sur la création de personnages, la recherche de costumes et l’animation pour Taram et le Chaudron Magique aux côtés de Tim Burton. Il travaille ensuite sur Basil Détective Privé puis à la création et à l’animation de plusieurs des personnages de Oliver et Compagnie avant de passer un an à Londres comme responsable de l’animation sur Qui veut la peau de Roger Rabbit ? sous la direction de Richard Williams.
En tant que directeur de l’animation sur La Petite Sirène, Andreas Deja a supervisé l’animation du Roi Triton. Il a ensuite été superviseur de l’animation sur La Belle et la Bête en 1991 pour le personnage du vaniteux Gaston. Il a occupé ce même poste sur les films d'animation suivants, Aladdin et Le Roi lion, et créé les personnages et l’animation pour Jafar, le sournois grand vizir, et Scar.
Mickey Perd la Tête terminé (le dernier court métrage en date de Mickey), Andreas Deja rejoint l'équipe travaillant sur Hercule, puis Fantasia 2000, Lilo & Stitch, La Ferme se Rebelle et Bambi 2.

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En 2007 il participe à la partie animée du film Il Etait une Fois où il s'occupe du personnage de la Reine Narissa avant d'animer Dingo dans son tout dernier court métrage, Comment Brancher son Home Cinema. En 2008 Andreas Deja travaille sur l'animation de La Princesse et la Grenouille. Le retour de la 2D dans les Grands Classiques Disney permettra donc à ce grand artiste de revenir sur le devant de la scène, à notre plus grande joie! On le retrouve ensuite sur l'animation de Tigrou sur Winnie l'Ourson, ce sera son dernier projet pour Disney qu'il quittera en 2012 pour se consacrer à des projets plus personnels. Entre ces différentes productions il participe également activement à de nombreux making-of de Grands Classique tels que celui de La Belle et la Bête en 2002, Le Roi lion en 2003, Aladdin en 2004, La Petite Sirène en 2006, etc. Car en plus d'être un très grand animateur, Andreas Deja est également un des plus grands fans des films d'animation Disney! Si vous désirez en savoir un peu plus sur ce grand artiste, je vous invite à lire cette inteview en anglais datant de son séjour à Paris en 1995 (merci à Professor Ratigan du forum Disney Central Plaza pour le lien ;)

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Filmographie :

- Taram et le Chaudron Magique (1985) : animateur Taram et Eilowny
- Basil Détective Privé (1986) : animateur de la Reine des souris
- Qui veut la Peau de Roger Rabbit? (1988) : supervision animation Roger Rabbit
- Oliver et Compagnie (1988) : character designer
- La Petite Sirène (1989) : supervision animation Roi Triton
- Le Prince et le Pauvre (1990) : supervision animation Mickey
- La Belle et la Bête (1991) : supervision animation Gaston
- Aladdin (1992) : supervision animation Jafar
- Le Roi Lion (1994) : supervision animation Scar
- Mickey Perd la Tête (1995) : supervision animation Mickey
- Hercule (1997) : supervision animation Hercule adulte
- Fantasia 2000 (2000) : animateur segment Rhapsody in Blue + animateur Mickey
- Lilo & Stitch (2002) : superviseur animation Lilo
- My Peoples (2003) : character designer
- La Ferme se Rebelle (2004) : animateur Slim et Junior
- Mickey, Il Etait Deux Fois Noël (2004) : consultant animateur
- Bambi 2 : (2006) consultant animateur Bambi
- Comment brancher son Home Cinema (2007) : animateur Dingo
- Il Etait une Fois (2007) : animateur Reine Narissa
- La Princesse et la Grenouille (2009) : superviseur animation Mama Odie
- Winnie l'Ourson (2011) : suprviseur animation Tigrou

 

Voici quelques extraits de Grands Classiques où l'animation du maître fait des merveilles :

20 septembre 2008

Volt, Star Malgré Lui

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i387624bolt01nh8_02Après vous avoir parlé de La Princesse et la Grenouille il y a quelques semaines, j'aimerai désormais vous présenter le prochain Grand Classique Disney, Bolt (Volt, Star Malgré Lui). La réalisation de ce film a été plus que laborieuse, dut en grande partie au changement de réalisateur et aux nombreux remaniements voulus par John Lasseter. A l'origine le projet avait été mis en chantier par Chris Sanders le papa de Lilo & Stitch, le film s'appelait alors American Dog. L'histoire était celle d'Henry, un célèbre chien star de télévision, qui s'est accidentellement perdu dans le désert du Nevada. Sa vie rangée et scénarisée de chien star touche alors à sa fin et son périple à travers les USA ne fait que commencer... Il rencontrera lors de son voyage un chat borgne très irritable et un lapin géant super actif, qui eux aussi cherchent une nouvelle maison.
Les raisons du départ de Chris Sanders sont assez flous, il semblerait qu'il ne se serait pas entendu avec la nouvelle direction et qu'il préféra s'en aller (on le retrouvera très bientôt avec le film de Dreamworks Monsters vs Aliens en 2009). Il fut ainsi remplacé par Chris Williams, dont c'est la première réalisation de long métrage. Chris est arrivé chez Disney au milieu des années 90 pour travailler sur le scénario de Mulan aux studios de Floride. Il participa ensuite au scénario de Kuzco l'Empereur Mégalo, Chicken Little et enfin Bienvenue chez les Robinson. Juste avant d'être nommé réalisateur de Volt, Star Malgré Lui, Chris Williams  travaillait sur la réalisation de Glago's Guest, un court métrage que l'on retrouvera au cinéma en avant programme du film.

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Voici le nouveau scénario mis en place par Chris et son équipe : Pour le chien Volt, star d'une série télévisée à succès, chaque journée est riche d'aventure, de danger et de mystère - du moins devant les caméras. Ce n'est plus le cas lorsqu'il se retrouve par erreur loin des studios de Hollywood, à New York... Il va alors entamer la plus grande et la plus périlleuse de ses aventures - dans le monde réel, cette fois. Et il est convaincu que ses super-pouvoirs et ses actes héroïques sont réels...
Heureusement, Volt va se trouver deux curieux compagnons de voyage : un chat abandonné et blasé nommé Mittens, et un hamster fan de télé dans sa balle de plastique appelé Rhino. Volt va découvrir qu'il n'est pas nécessaire d'avoir des pouvoirs extraordinaires pour être un vrai héros...
En attendant la sortie de ce nouveau Grand Classique le 4 février 2009, je vous invite à découvrir une première galerie de dessins préparatoires. Une seconde galerie devrait voir le jour d'ici quelques semaines avec la sortie au mois d'octobre du livre The Art of Bolt aux éditions Chronicle Books, l'excellent éditeur des "The Art of" des films d'animation Pixar!

 

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Pour terminer voici un nouvel extrait du film :

11 septembre 2008

Cars - Quatre Roues

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En attendant la suite des galeries de Fantasia (mon ordinateur est malheureusement encore loin d'être réparé), je vous invite à découvrir une nouvelle galerie de dessins de Cars - Quatre Roues centrée sur les différents personnages du film. Tout ces croquis sont tirés du livre The Art of Cars aux éditions Chronicle Books.

 

 

 

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