Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
The Art of Disney
28 décembre 2008

Fantasia : Une Nuit sur le Mont Chauve

42935136
UNE NUIT SUR LE MONT CHAUVE
o

o

La musique d'Une Nuit sur le Mont Chauve fut composé par Modeste Moussorgsky en 1860. Au cours des années qui suivirent, le compositeur réécrivit la partition mais elle ne fut jamais jouée de son vivant. Le poème symphonique de Moussorgsky fut inspiré par la mythologie slave centrée sur le mont Triglaf (le Mont chauve) situé près de Kiev au sud de la Russie. Sur ce mont, des esprits démoniaques se rassemblent au cours de la nuit de Walpurgis (l'équivalent d'Halloween) afin de célébrer les forces du mal.
Le design du segment pour Fantasia fut confié au danois Kay Nielsen. Kay Nielsen était l'un de ces artistes qui pouvait créer un monde dans lequel tout enfant pouvait entrer facilement. Et c'est lui qui a donné l'atmosphère du lieu d'Une Nuit sur le Mont Chauve. Ce segment conserve l'intégrité du travail de Nielsen : sa ligne sensuelle, ses couleurs luxuriantes, la touche d'art nouveau d'Aubrey Beardsley, les gravure sur bois japonaises et chinoises. Tout cela fait partie de son style, et ça se voit dans les personnages, et dans le style des arrière-plans.
L'acteur star du cinéma d'épouvante de l'époque, Bela Lugosi fut filmé jouant le rôle du démon afin que les animateurs aient des images de référence. Mais Tytla (un des animateurs principal du segment) n'en était pas  satisfait. Après le départ de l'acteur, il réalisa sa prorpre interprétation avec le réalisateur Wilfred Jackson au physique squelettique dans le rôle de Chernabog. Le travail de Tytla pour ce film et d'autres productions Disney lui valut l'admiration de ses collègues. Il est souvent présenté comme étant le premier à avoir réussi à animer de manière convaincante et émouvante les personnages humains. L'animation de Chernabog par Tytla est plus puissante et dramatique que tout ce qui a pu être fait en animation jusqu'à présent.

o

Animation de Chernabog par Bill Tytla :

devil1    devil2    devil3

devil4    devil5    devil6

devil7    devil8    devil9

devil10

o

Dessins de Kay Nielsen :

PDVD_035    PDVD_036    PDVD_037

PDVD_038    Nielsensm    PDVD_040

PDVD_041

o

Autres recherches graphiques :

170    1442365585_a8fe41a218_b    1442389537_d987b41ef6_b

1442417153_b39440d40a_b    1442473585_97fefdccb4_b    1442484809_353e487ce3_b

1443259402_58b58bc468_b    Fantasia1940_0043_1b_2Mod    Fantasia1940_0043_2b_2Mod

PDVD_000    PDVD_001    PDVD_002

PDVD_003    PDVD_004    PDVD_005

PDVD_006    PDVD_007    PDVD_009

PDVD_010    PDVD_011    PDVD_012

PDVD_013    PDVD_014    PDVD_015

PDVD_016    PDVD_017    PDVD_019

PDVD_020    PDVD_021    PDVD_022

PDVD_023    PDVD_024    PDVD_025

PDVD_026    PDVD_027    PDVD_028

PDVD_029    PDVD_030    PDVD_031

PDVD_032    PDVD_033    PDVD_034

PDVD_042    PDVD_043    PDVD_044

PDVD_045    PDVD_046    PDVD_047

PDVD_048    PDVD_049    PDVD_050

PDVD_052    PDVD_053    PDVD_054

PDVD_055    PDVD_056    PDVD_057

PDVD_058    PDVD_060    PDVD_061

PDVD_062    PDVD_063    PDVD_064

PDVD_066    PDVD_067    PDVD_068

PDVD_069    PDVD_070

o

Model sheets :

PDVD_071    PDVD_079    PDVD_085

PDVD_086    PDVD_087    PDVD_088

Publicité
26 décembre 2008

Tron

 

 

tron_logo_copie 

 

tron_xlg 02

Depuis leur création, les studios Disney ont toujours été pionniers dans de nombreux domaines, que ce soit avec le premier cartoon sonore, l'apparition de la couleur, le premier long métrage d'animation ou bien encore le son stéréophonique. Ce n'est donc pas un hasard si le premier film comportant des images de synthèses est une production Disney ! TRON n'est pour autant pas à proprement parlé un projet Disney, les studios ayant juste servi de producteur et de distributeur. C'est Steven Lisberger, le réalisateur du film, qui en a eu l'idée. Cela faisait déjà un moment que les studios Disney avaient pour projet de développer la technologie 3D pour le cinéma, TRON fut donc une excellente occasion de s'y essayer.

PDVD_000_02  PDVD_015_02  PDVD_027_02

Le plus difficile dans TRON fut de combiner scène réelles et animation par ordinateur, chose qui n'avait jamais été tenté auparavant. Les acteurs étaient alors filmés sur fond noir, avec des vêtements noirs afin de pouvoir plus facilement les intégrer aux images de synthèses. Mais technologie oblige, tout ne pouvait pas encore être réalisé en numérique. Certain décors étaient donc de simples peintures. Il fallait alors combiner trois technique différentes : le réel, la 3D et la peinture, un gros défi pour l'équipe des effets spéciaux!
Etant donné le temps qu'il fallait pour générer des images par ordinateur, trois studios différents ont travaillé sur les effets spéciaux de TRON : Magi (la course de moto, les reconnaisseurs et les tanks), Triple I (le vaisseau de Sark, le voilier solaire et le MCP) et Abel (séquences de transition). Il fallut donc faire bien attention que le style des différents studios se marie bien, ce qui fut plus facile que prévu. En effet tous avaient en commun l'utilisation de la 3D et un nombre restreint de textures, les possibilités n'étant pas encore infinies, le style des différents éléments 3D restait assez proche.

PDVD_032_02  PDVD_036_02  PDVD_044_02

Autre défi du film, la grosse majorité des techniciens travaillant sur ordinateur n'avaient jamais participé à la production d'un film, ils avaient une approche de l'image bien différente. Voici ce que dit  Bill Kroyer (superviseur des effets spéciaux numériques) à ce sujet : Il a fallut beaucoup discuter avec les boîtes informatiques. Nous, nous savions seulement ce que nous voulions obtenir. En parlant avec eux nous avons compris que nous pouvions développer des programmes qui répondraient à nos besoins créatifs afin d'obtenir un film réussi. Par exemple, nous voulions des espaces immenses. L'arène des motos devait faire des kilomètres de long. Mais un ordinateur ne crée que des images nettes. Donc, un objet se trouvant à un kilomètre est aussi net qu'un autre se trouvant à un mètre. Et ça, ça fait faux. Il nous fallait recréer la sensation visuelle de distance. Au cinéma il suffit de faire le flou et de ternir les couleurs. On a trouvé une technique simple, qui est devenu courante : le "depth cloying". C'est un algorithme qui fait varier la lumière de chaque point en fonction de son éloignement par rapport à la caméra. Les points éloignés deviennent ainsi plus flous. On obtient ça naturellement au cinéma, pour une image de synthèse il faut l'ajouter. Cette interaction constante entre nos exigences visuelles et leurs possibilités technologiques a crée TRON.

PDVD_007_02  PDVD_051_02  PDVD_053_02

TRON est sorti dans les salles américaines le 9 juillet 1982 et fut un demi-échec. Il rapporta 33 millions de dollars alors qu'il en avait coûté 17 millions. Malgré ses prouesses technologiques, l'histoire du TRON n'a pas réussi à attirer les foules. Aujourd'hui TRON est surtout considéré comme un film historique, le tout premier à avoir exploité l'imagerie numérique au cinéma. C'est également grâce à ce film que John Lasseter a décidé de continuer sa carrière artistique dans l'animation assistée par ordinateur. Sans TRON nous n'aurions surement jamais eu Toy Story! Les progrès dans cette technologie ont été considérables en 25 ans mais personne n'a oublié que sans ce film pionnier, les effets spéciaux ne seraient peut-être pas ce qu'ils sont aujourd'hui.

Retrouvez ci-dessous une première galerie de recherches centrée sur les environnements numériques :

PDVD_011

PDVD_012

PDVD_015

PDVD_016

PDVD_019

PDVD_020

PDVD_021

PDVD_025

PDVD_026

PDVD_027

PDVD_028

PDVD_029

PDVD_030

PDVD_035

PDVD_038

PDVD_037

PDVD_046

PDVD_047

PDVD_048

PDVD_049

18 décembre 2008

Mélodie du Sud

 Logo

o

1946_s10_02Sorti le 12 novembre 1946 aux États-Unis, Song of the South (Mélodie du Sud) est le second film des studios à sortir après-guerre (le premier étant La Boîte à Musique) et le premier film mettant en scène de véritables acteurs (Le Dragon Récalcitrant et Victoires des les Airs étant plus considérés comme des documentaires). Durant près de quatre années, les studios Disney avaient été réquisitionné par l'armée américaine afin de créer des films d'animation de propagande ainsi que divers cartoons et longs métrages parlant de l'amitié entre les Etats-Unis et l'Amérique latine (Saludos Amigos, Les Trois Caballeros), le patriotisme était donc de mise! Ces différents films permirent aux studios de continuer ses activités durant la guerre mais n'engendrèrent que très peu de bénéfices, le marché européen étant totalement fermé et les américains ayant d'autre priorités que de se rendre au cinéma. La solution fut donc de réaliser des films à coût réduit (Pinocchio, Fantasia ou encore Bambi avaient coûté une véritable fortune). La première idée fut de réaliser des films dit "packages", composés de divers courts ou moyens métrages. La seconde moitié des années 40 fut ainsi envahit par ces productions : La Boîte à Musique (1946), Coquin de Printemps (1947), Mélodie Cocktail (1948) et enfin Le Crapaud et le Maître d'Ecole (1949). Mais une autre solution fut également de mélanger des séquences live avec des séquences animées, le prix d'une minute de film étant bien moins coûteuse qu'une minute d'animation. Deux longs métrages furent ainsi mis en chantier : Danny le Petit Mouton Noir et Mélodie du Sud.

storyboards_02   ur_so_90_02   08_02   09_02

Mélodie du Sud est inspiré des récits de l'Oncle Remus de Joel Chandlet Harris, parus entre 1880 et 1905 et très prisés par Walt depuis l'enfance. Voici ce que le maître disait à propos des raisons de la réalisation de ce premier film live : Je devais absolument me diversifier. Je n'ignorais pas que la diversification de mon travail en représenterait la sauvegarde. J'avais déjà tenté cette expérience avant, car je ne voulais pas me restreindre avec Mickey Mouse. Voilà pourquoi j'avais élaboré les Silly Symphonies, qui résolurent le problème. Et ces Silly Symphonies aboutirent aux longs métrages. Sans les recherches effectuées sur les Silly Symphonies, je n'aurais jamais put aborder Blanche Neige et les Sept Nains. En outre, nombre d'investigations menées dans les Silly Symphonies contenaient déjà en substance les grande lignes de Fantasia. J'y ai traité avec soin des éléments que je ne pouvais réutiliser autrement. A présent je souhaite dépasser ce stade. Je veux aller au delà du dessin animé, dans la mesure où cette discipline s'est sclérosée dans ses propres limites. J'ai tout essayé : en faire indifféremment du sept-huit minutes ou du quatre-vingt minutes; les assembler, en aligner cinq ou six à la suite pour constituer un long métrage. A présent je dois aller plus loin dans la diversité et ceci signifie ni plus ni moins l'action réelle.
Mélodie du Sud comportait 70% d'actions réelles et 30% d'animation dont quelques scènes mélangeant les deux procédés. Ce n'est pas la première fois que les studios Disney utilisaient cette technique qui fut exploitée dès les premières années de vie des studios avec la série des Alice Comedies (1923 -1927). On la retrouve ensuite dans Les Trois Caballeros où elle est utilisée pour la première fois en technicolor.

capitol_02   01_02   driscollpatten_02

Cette entrée dans les productions live va également permettre à de jeunes acteurs de se faire un nom dans le milieu du cinéma hollywoodien. Outre James Baskett qui incarne un Oncle Rémus des plus sympathiques, les deux rôles principaux sont attribués à Bobby Driscoll et Luana Patten, respectivement 8 et 7 ans à l'époque du tournage des séquences lives. Les deux enfants deviendront vite les premières stars Disney. Bobby Driscoll jouera ainsi dans divers productions des studios tels que Mélodie Cocktail, Danny le Petit Mouton Noir, L'Ile au Trésor et prêtera également sa voix à Peter dans Peter Pan. Quant à Luana Patten on la retrouvera dans Coquin de Printemps, Mélodie Cocktail et Johnny Tremain, un film Disney de 1957. Mais le destin des enfants stars s'avère parfois tragique... Après des années de galère, de rôles médiocres et de toxicomanie, Bobby Driscoll décèdera en mars 1968 à l'âge de 31 ans. Luana Patten décède elle à l'âge de 57 ans d'insuffisance respiratoire en mai 1996.
La première de Mélodie du Sud eut lieu à Atlanta, où on vénérait Joel Chandler Harris. Le film reçut un acceuil presque aussi chaleureux qu'Autant en Emporte le Vent. Zip-A-Deeh-Dooh-Dah, la chanson phare du film reçu l'Oscar® de la meilleure chanson en 1947, et James Baskett obtint un prix spécial pour son rôle d'Oncle Remus. Mais les recettes de Mélodie du Sud ne furent guère mirobolantes (226 000 $), inaptes à compenser le prix de revient élevés du film (2 125 000 $). Les critiques reprochaient au film de faire l'apologie de l'esclavage, en donnant une vision trop positive de cette période. Le public suivit les critiques et bouda le film à sa sortie.

LBMPE2_043c_02   LBGPF2_081c_02   LBGPF2_081b_02
Première mondiale du film à Atlanta

Mélodie du Sud eut tout de même droit à quelques ressorties au cinéma outre-atlantique (en 1956, 1973, 1980 et 1986) mais ne fut jamais proposé en vidéo aux Etats-Unis. En France le film est sorti en VHS en 1991 et 1996 mais n'a jamais été édité en DVD. Le film fait pourtant parti de la collection numérotée mais la maison mère interdit toute publication en raison de la trame de fond du film (l'esclavage). Mélodie du Sud a ainsi sombré dans l'oubli au fil des années et reste aujourd'hui méconnu du grand public....

Pour terminer je vous invite à découvrir ci-dessous une galerie de recherches graphiques réalisées par la grande Mary Blair.

o

1106451222_27f0074759_o

img095

img096

img097

img098

img100

16016883

16016896

16016948

16016973

23

1105599293_c6a0a3d536_o_02

SofS_20artdir1

SofS_20artdir3

SofS_20artdir4

SofS_20artdir5

SofS_20artdir6

SofS_20artdir7

SofS_20artdir8_20cave

img655_02

img656_03

img657_03

img658_03

img666_02

img667

img660_03

img661_02

img662_02

img664_02

img665_02

img663_02

11 décembre 2008

Fred Moore

Fred_Moore_copie

 

 

Robert Fred Moore est né le 7 septembre 1911 en Californie. Il fait des études supérieures à la Polytechnic High School de Los Angeles. Ses premiers dessins sont publiés dans le Los Angeles Junior Times, un magazine destiné à la jeunesse. Sa formation artistique se limite à des cours du soir au Chouinard Art Institute.
Il n'a que 19 ans lorsqu'il rencontre Walt Disney. Celui-ci, impressionné par son talent de dessinateur, l'engage d'abord comme assistant animateur. Il débute en 1930 sur des Silly Symphonies et sur des courts métrages de Mickey Mouse quelques mois après le départ d'Ub Iwerks. Il apparaît pour la première fois comme animateur au générique de Santa's Workshop, réalisé par Wilfred Jackson (1932). Il devient rapidement le spécialiste de Mickey Mouse, mais doit surtout sa réputation de virtuose de l'animation à sa création des personnages des (Les) Trois Petits Cochons de Burt Gillett (1933).

moorepig_02      dwarfs_02      bravelittletailor7_02

En 1934, Walt Disney lui confie (avec Bill Tytla) la responsabilité de diriger l'animation des nains dans Blanche Neige et les Sept Nains. Il réalise les modèles d'attitudes servant de référence aux animateurs et signe qulelques-unes des plus belles scènes de Simplet.
En 1938, Walt Disney demande à Fred Moore de créer le modèle de Mickey Mouse en costume d'apprenti sorcier et d'en superviser l'animation. Le port de son costume l'apparente toutefois à Simplet, comme le fait qu'il doive constamment remonter ses manches, beaucoup trop longues. C'est une des premières apparitions du personnage avec ses yeux nantis de pupilles. Le modèle modernisé de Mickey crée par Fred Moore est encore utilisé aujourd'hui.
Pour Pinocchio, il crée le personnage de Crapule dans l'inoubliable séquence de l'île aux plaisirs, puis anime les centeaurettes de La Symphonie Pastorale dans Fantasia. A la fin des années 1930, il donne vie à Mickey Mouse dans ses meilleurs films, dont Brave Little Tailor de Bill Roberts (1938), The Pointer de Clyde Geronimi (1939), The Little Whirlwing et The Nifty Nineties, tous deux réalisés en 1941 par Riley Thompson.

melinda2_02      APastoral_206_02      File0021_02

Dans la décennie suivante, il anime Timothée dans Dumbo aux côtés de Wolgang Reitherman, avant de sombrer dans l'alcoolisme. Disney se fâche avec lui et Moore quitte les studios à la fin de l'année 1945. Il travaille quelques temps pour les studios Walter Lantz comme animateur sur les courts métrages d'Andy Panda et Woody Woodpecker.
Il retourne aux studios Disney en 1948, et participe à l'animation du film Le Crapaud et le Maître d'École, mais son travail n'a plus la même qualité. Il est alors redevenu simple animateur; Disney lui confie quelques personnages secondaires de Cendrillon,
Alice au Pays des Merveilles et Peter Pan. Il anime une dernière fois Mickey Mouse dans Pluto's Christmas Tree de Jack Hannah (1952) et dans The Simple Things de Charles Nichols (1953).

pancho4_02    pancho2_02    catkids_02

Fred Moore décède le 25 novembre 1952, victime d'une hémorragie cérébrale suite à un accident de la route à Burbank alors qu'il revenait d'un match de football avec sa femme... Il fut enterré au Forest Lawn Memorial Park proche des Walt Disney Studios. Moore venait de terminer l'animation des filles du joueur de baseball Casey, surnommées les « Caseyettes », dans le court métrage Casey Bats Again, suite d'une séquence de La Boîte à Musique, Casey at the Bat (à laquelle il n'a cependant pas participé). Le film est sorti presque deux ans après sa mort (1954). Fred Moore obtient le titre de Disney Legend en 1995.

o

Filmographie :

- Santa's Workshop (1932) (animateur)
- Three Little Pigs (1933) (animateur)
- Mickey Plays Papa (1934) (animateur)
- The Golden Touch (1935) (animateur)
- Pluto's Judgement Day (1935) (animateur)
- Three Little Wolves (1936) (animateur)
- Blanche Neige et les Sept Nains (1937) (superviseur de l'animation)
- Brave Little Tailor (1938) (animateur)
- The Pointer (1939) (animator)
- Pinocchio (1940) (directeur de l'animation
)
- Fantasia (1940) (superviseur de l'animation : séquences L'Apprentie Sorcier, La Symphonie Pastorale)
- The Nifty Nineties (1941) (animateur)
- The Reluctant Dragon (1941) (animateur)
- Dumbo (1941) (directeur de l'animation)
- Saludos Amigos (1942) (animateur)
- Les Trois Caballeros (1944) (animateur)
- La Boîte à Musique (1946) (animateur : séquence "All the Cats Join In")
- Coquin de Printemps (1947) (directeur de l'animation)
- The Mad Hatter (1947) (animateur)
- Wacky Bye Baby (1948) (animateur)
- Pixie Picnic (1948) (animateur)
- Le Crapaud et le Maître d'École (animateur)
- Cendrillon (1950) (animateur)
- The Brave Engineer (1950) (animateur)
- Plutopia (1951) (animateur)
- Alice au Pays des Merveilles (1951) (animateur)
- R'coon Dawg (1951) (animateur)
- Fathers Are People (1951) (animateur)
- Pluto's Party (1952) (animateur)
- Pluto's Christmas Tree (1952) (animateur)
- Peter Pan (1953) (animateur enfants perdus et sirènes)
- The Simple Things (1953) (animateur)
- Football Now and Then (1953) (animateur)
- Casey Bats Again (1954) (animateur)
- The Legend of Sleepy Hollow (1958) (animateur)
- Mickey Mouse Disco (1980) (1980)
- Fantasia 2000 (1999) (superviseur de l'animation : séquences "L'Apprentie Sorcier")

4 décembre 2008

Merlin l'Enchanteur

06242_gamesdownloadsfiller_205_swordinthestone_copie


51vx9bok3bL__SS500_Merlin l'Enchanteur fait son retour en DVD (pas d'édition Blu-ray pour le moment)! A l'occasion de son 45ème anniversaire le film a eu droit à une nouvelle édition dite "exclusive" qui, hormis un nouveau packaging plutôt attrayant, n'a rien à envier à l'ancienne édition de 2003. Pas de bonus inédits ni même une nouvelle restauration, à réserver donc aux personnes ne possédant pas déjà l'ancienne édition et qui auront sans nul doute un grand plaisir à (re)découvrir ce magnifique film. Retrouvez ci-dessous une nouvelles galerie de dessins préparatoire du film.

o

PDVD_000

PDVD_002

PDVD_003

PDVD_004

PDVD_005

PDVD_006

PDVD_007

PDVD_008

PDVD_012

PDVD_009_petit

PDVD_010_petit

PDVD_011

PDVD_013

PDVD_014_petit

PDVD_015_petit

PDVD_016

PDVD_017_petit

PDVD_018

PDVD_019

PDVD_020

PDVD_021

PDVD_022

PDVD_026

PDVD_025

PDVD_027_petit

Storyboard du duel par Bill Peet :

Sword_In_Stone_Duel_1

Sword_In_Stone_Duel_2

Sword_In_Stone_Duel_3

Sword_In_Stone_Duel_4

o

 

o

Publicité
Publicité